Lyrics

Chambre 909... (souffle léger)
Code bloqué, rideaux tirés, lumière froide... (mhmm)
Elle s’cache pas, elle disparaît.


J’repars solo, visage éteint dans l’vitrage,
Zéro trace, zéro bruit — juste l’frisson dans l’passage.
Elle m’a laissé son parfum (mmm), pas son adresse, (mmm)
Chaque appel, chaque “allo”, j’sais qu’c’est pas elle — j’raccroche sans stress. (ouais)

Range Rover sale, j’roule, j’fais sauter les radars,
T’as l’même regard qu’elle ? Dégage — j’prends l’écart.
Poches pleines, cœur vide, Rolex tournée à l’envers,
J’pense à elle quand j’démonte une barrette, solo au Belvédère.


Elle m'disait : "fais ton choix, c’est moi ou le cash",
J’lui ai dit : "toi t’es réelle, l’oseille c’est qu’un flash". (c’est ça)
J’te garde dans l’sang, t’es mon vrai capital,
L’argent s’efface, toi t’restes — essentielle, vitale. (toujours)

Ooooh

Dubaï ghost, elle brille, elle choque, elle est belle (yeah)
Peau douce, cœur froid, elle joue son rôle d’art,
Elle glisse dans la nuit, loin des regards bizarres (huh)
Seul mon crew sait que c’est elle qui tient le bar.


Dubaï ghost, j’parle plus dans l’vide,
Elle flotte dans ma nuit, mon cœur est timide.
J’paye l’hôtel, j’perds pied, tout devient liquide. (oh)
Elle laisse que du silence, l’air lourd et acide.


On s’voit pas, on s’sent, j’entends son appel
Je suis hors du monde quand elle s’en mêle,
J’la vois dans la brume, regard qui m’harcèle,
Dubaï ghost, elle revient — fantôme sans parole. (souffle écho)


Cuir noir sur le siège, son parfum qui m’attire,
Elle a glissé dans mes veines, j’peux plus faire marche arrière. (nah)
Pas d’amour, pas d’preuve, juste le feu dans l’air,
J’ai perdu la tête dans un baiser millénaire. (ouais)

Elle s’appelait rien, j’l’ai baptisée douleur,
Trente couplets écrits en l’espace d’une heure.
Son sac Dior cache mes secrets sous la fermeture,
Au lever, elle s’efface, froid le lit, pas d’couverture.

On s’voit pas, on s’sent, j’entends son appel
Je suis hors du monde quand elle s’en mêle,
J’la vois dans la brume, regard qui m’harcèle,
Dubaï ghost, elle revient — fantôme sans parole. (souffle doux)

Dubaï ghost, elle brille, choque, elle part, (yeah)
Peau douce, cœur froid, joue son rôle sans fard,
Elle glisse dans la nuit, loin des regards bizarres, (huh)
Seul mon crew sait qu’elle tient le bar.

Pas besoin d’la revoir, j’veux plus d’ce brouillard,
Elle est partout, fout le bordel dans mon bar. (argh)
Faut qu’j’m’endors vite, sinon j’perds l’espoir,
Fin d’l’histoire, j’ferme les yeux, c’est noir. (dernier souffle)