Lyrics

Un homme comme un gorille
Qui attrape mes hanches
Et range dans ma nuit
La longueur de son courage
La violence de son désir
La puissance fait un carnage
Entre mes fesses, il détruit
Ma petite Ostie
Ma petite bise
Et déchire en grognant son plaisir.
La violence me transforme en bout de lui
En un fourreau pour sa lame
En un étui pour ce fusil.
Je vais mourir
Quand il brame
Et qu’il envoie au fond de moi
Toute la quantité de lave
Qu’il me réservait
Engorgé dur, secoué de spasmes,
Je dois essuyer son orgasme,
Je dois serrer sur son étai,
Lui faire donner tout épais miasme
Que me vomit son bout violet,
Glisser le long de sa matraque,
Serrer fort mon annelet
Auquel il imprime sa marque
Engloutir son membre épais.
Je lui gémis qu’il me décalque,
Qu’il fait de mon corps un tunnel,
Que sa grosse queue met à sac,
Et combien il me rend femelle !
Il bande plus dur à mes paroles,
Il m’ouvre plus large l’avaloir !
Il est le maître dans ma corolle
Il exprime à coup de battoir
Il crie
« aspire-moi toute la colle
J’avais les couilles pleines comme des poires »

Mon cul était une toupie folle.
Pour qu’il me graisse le tiroir
Il gueulait « ouais ! j’t’envoie la crème !
J’me vide les couilles dans une salope
Dis-moi que j’te fume comme une clope
Dis-moi que maintenant t’es bien pleine
Et que tu aimes que j’te rabote »
Je disais ce qu’il voulait entendre
Que pour lui, j’irais faire la pute
Que je gagnerais tout l’argent
Pour mériter de son calbute !
Qu’il s’ouvre et qu’il me rentre dedans
Une longue chibrée avant la jute.
Je gémissais entre ses cuisses
Et lui m’ouvrait le cul en grand,
Avec ses pouces et son caprice,
Pouvait me casser le fondement.
J’allais mourir sous ce gorille,
Monté comme une bite du port
Qui m’assaillait de sa grosse quille !
J’étais grande ouverte sous son corps.
Lui, il savait dresser une fille !
Ce n’était pas un demi-lascar !
Il me tenait par les chevilles,
Voyait mon cul sucer son dard !
Il m’a prise à l’emporte pièce
Sans même retirer son falzart !
Il m’a dit « j’vais t’acheter une laisse,
Dès aujourd’hui t’es mon clébart !
Ton collier gravé à mon nom !
Ton panier devant ma maison !
Au sifflet tu ouvres les fesses
Quand je veux ranger mon bâton ! »