Lyrics

Titre (à toi de choisir)


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[Couplet 1]
Prêt des cèdres, mon âme vagabonde,
Fils des monts d’Atlas, perdu dans le monde.
Loin des cités bruyantes, où ton visage abonde,
Je trace sur le sable les mots que l’on me sonde.
Mon cœur est un désert, vaste et silencieux,
Où brûle une étoile, un éclat douloureux.
Majnoun à sa Layla, je marche vers des cieux,
Portant ce doux fardeau, un amour précieux.


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[Refrain]
Sous la voûte d’Orient, je rêve, solitaire,
D’un amour sincère, plus grand que la mer.
Ma plume est un voyage, un chant millénaire,
Un poème offert, avant mon dernier air.

Le vent te porte mes vers, jusqu’à ton âme,
À travers dunes et palmiers, messagers de ma flamme.
Ton nom murmuré, un parfum qui désarme,
Lalla zina des montagnes, ma douleur, mon calme.


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[Couplet 2]
Zina ,tes yeux sont perles du matin,
Tes mains sculptent l’air ,un chant ancien, divin.
Le tam-tam résonne entre palmiers et jasmin,
Ton corps danse au vent, silhouette dans le lointain.

[Les dunes t’enlacent, reine de sable et de satin,
Lalla ya zina , parfum d’or, trésor lointain.
Gazelle au pas léger, au regard câlin,]


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[Refrain]
Sous la voûte d’Orient, je rêve, solitaire,
D’un amour sans frontières, plus grand que la mer.
Ma plume est un voyage, un chant millénaire,
Un poème offert, avant mon dernier air.

Le vent te porte mes vers, jusqu’à ton âme,
À travers dunes et palmiers, messagers de ma flamme.
Ton nom murmuré, un parfum qui désarme,
Lalla zina des montagnes, ma douleur, mon calme.


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[Couplet 3]
J'ai priée pour toi, dans la lumière d’Allah,
Ton nom revient doux, comme un chant d’autrefois.
T’es l’eau de Zamzam, mon souffle, ma shifa,
Même sans réponse, j’te parle, j’ai la foi.

Au cœur d’Istanbul, j’t'écris des refrains
Dans le henné d’Sheherazaa, ton éclat reste là.
Mirage sur tapis d’un vieux souk de Fès,
Épice cachée dans le miel d’un thé de Tlemcen ou rabat.

T’es la calligraphie d’un poème persan,
Que nul ne traduit, mais que l’âme comprend.
Douceur d’une gazelle, orgueil d’une lionne,
Tu vis dans mes veines, comme un oud qui résonne.


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[Refrain]
Sous la voûte d’Orient, je rêve, solitaire,
D’un amour sans frontières, plus grand que la mer.
Ma plume est un voyage, un chant millénaire,
Un poème offert, avant mon dernier air.

Le vent te porte mes vers, jusqu’à ton âme,
À travers dunes et palmiers, messagers de ma flamme.
Ton nom murmuré, un parfum qui désarme,
Lalla zina des montagnes, ma douleur, mon calme.


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[Couplet 4]
Mon cœur est un temple, sans foi, sans Shiva,
J’te cherche dans l’encre, dans l’eau, dans le bois.
T’es ma dernière guerre, mon cri, mon gala,
Le genre d’souvenir qu’on jette pas.( toujours la)

[(Je relance tes vocaux, j’sais même plus pourquoi,
T’es partie comme les rêves qu’on finit pas.)]

[Refrain]