Lyrics

(Intro – voix grave, lente, autotunée, planante)
Le C...
Silencieux, mais chaque mot est une arme…
Ils parlent trop, lui trace sans vacarme.
Un fantôme noble sous la lune,
Chaque pas fait trembler la dune...

(Couplet 1 — posé, mélodieux)
Posé dans l’ombre, loin des bavards,
Regard fixe, comme s’il voyait l’bazar.
Pas d’éclat, mais tout l’monde capte sa vibe,
Il débarque, le silence devient une vibe.
Couronne de brume, flow de roi,
Il pense mille fois avant d’faire un choix.
Le C c’est l’dos solide qu’tu vois pas venir,
Toujours au front, sans rien faire fuir.
Planète glaciale, il garde la foi,
Même les étoiles lui parlent tout bas.
Y’a qu’les vrais qui lisent ses silences,
Les autres s’égarent dans leur violence…

(Refrain — chanté, aérien, autotune doux)
Le C… dans l’ombre il avance,
Pas d’bruit, juste de l’élégance.
Respecté sans lever la voix,
Le silence est son choix.
Dans la foule, c’est lui qu’on ressent,
Pas d’tempête, juste le vent.

(Couplet 2 — plus profond, introspectif, style PNL pur)
Marche dans la brume comme un vieux prophète,
Il voit des mondes que personne n’interprète.
Tête levée même sous l’orage,
Fidèle à sa voie, pas d’dégâts, que du courage.
Le C c’est pas l’hasard, c’est l’destin,
Trône d’ombres, il s’lève tôt, dort tard.
Paroles rares, mais quand il parle c’est franc,
Pas besoin d’foule pour marcher grand.
Frérot discret, cœur en béton,
Sur WePlay c’est l’fantôme du salon.
Pas dans les clashs, pas dans les clashs,
Mais t’as compris que c’est lui qu’on lâche pas.

(Pont — voix lointaine, planante)
Il construit sans bruit,
Chaque mur, chaque appui…
Son monde est vaste comme la nuit,
Et son silence, c’est une pluie…

(Refrain final — chanté, plus intense)
Le C… dans l’ombre il avance,
Pas d’bruit, juste de l’élégance.
Respecté sans lever la voix,
Le silence est son choix.
Il laisse les étoiles parler pour lui,
Un roi sans cour, mais l’univers l’a choisi.

(Outro – parlé, voix grave, écho)
Le C…
C’est pas une présence, c’est une légende.
Il te parle pas, mais tu sens le message.
Dans un monde qui crie trop,
C’est lui qui impose le silence…