Lyrics

[Refrain – chanté façon reggae]

Le monde est grand, faut juste lever la tête,
Trop d’yeux rivés sur les écrans, sur les dettes,
Mais la Terre, elle nous parle, elle nous guide,
Dans chaque arbre, chaque mer, chaque ride.
Ouh yeah… Le monde est là, écoute-le battre,
C’est pas un rêve, c’est pas un théâtre.
C’est le vrai, brut, sauvage et beau,
Le paradis, c’est ici, pas dans les mots.

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[Couplet 1 – rap posé, old school]

J’me réveille au son d’un oiseau qu’on entend plus,
Enfermé dans nos bulles, dans nos vues obtuses.
Le ciel peint en rose, mais qui le regarde ?
Trop pressés, trop stressés, on rate la balade.

La nature crie, mais on zappe le canal,
À force d’écrans, on devient anormal.
T’as vu la lune ? Elle sourit dans la nuit,
Pendant que l’homme oublie que l’instant suffit.

Les étoiles se battent pour briller sans phare,
Mais nos yeux sont noyés dans trop d’blabla.
Le monde, c’est un chef-d’œuvre abandonné,
Mais j’lui rends hommage, à chaque mot prononcé.

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[Refrain]

Le monde est grand, faut juste lever la tête,
Trop d’yeux rivés sur les écrans, sur les dettes,
Mais la Terre, elle nous parle, elle nous guide,
Dans chaque arbre, chaque mer, chaque ride.

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[Couplet 2 – plus rythmé]

J’vois la mer comme un miroir de vérité,
Elle prend, elle rend, elle sait respecter.
Les montagnes nous enseignent le silence,
Pas besoin de bruit pour qu’un géant pense.

L’eau coule libre, comme un ancien flow,
Elle trace sa voie sans ego, sans show.
Et nous, on bétonne, on découpe les veines,
Mais la Terre saigne pas sans nous donner d’signes.

Chaque racine c’est une ligne de mémoire,
Chaque oiseau un couplet d’espoir.
J’rappe pas pour briller, j’rappe pour rappeler,
Qu’la beauté c’est ici, pas dans l’or empilé.

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[Refrain]

Le monde est grand, faut juste lever la tête,
Trop d’yeux rivés sur les écrans, sur les dettes,
Mais la Terre, elle nous parle, elle nous guide,
Dans chaque arbre, chaque mer, chaque ride.

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[Pont – parlé, ambiance reggae dub]

Fais une pause, coupe tout, respire,
Écoute le vent, laisse-toi juste partir.
La planète t’appelle, mais t’entends plus sa voix,
Trop de bruit dans l’monde, plus d’espace pour soi.

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[Couplet 3 – final]

Les enfants jouent dans des flaques oubliées,
Pendant que les grands noient leur âme dans l’acier.
Mais dans chaque coin d’herbe, y’a une vérité,
La nature veut juste qu’on l’laisse exister.

Je suis né de poussière, j’reviendrai poussière,
Mais entre les deux, j’veux sentir la lumière.
Chaque arbre est un maître, chaque brise une leçon,
Faut s’asseoir, écouter, sans poser de questions.

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[Outro – chanté façon refrain doux]

Le monde est grand… faut juste voir plus loin,
Entre les ombres, y’a toujours du matin.
Le monde est beau, même s’il pleure parfois,
Faut l’aimer fort, comme on aime pour de vrai…