Lyrics

Ton texte avec ad-libs ajoutés subtilement :


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Sous l’ombre des cèdres, mon âme vagabonde,
Fils des monts d’Atlas, perdu dans ce monde,
Loin des cités bruyantes, où ton visage abonde,
Je trace sur le sable les mots que l’on me sonde.
(hmm...)

[(J’t'appelle tout les soirs comme si t'étais là
Ton nom revient doux, dans les chansons de Dalida
J'cherche dans la nuit ,mes yeux ne voient que toi )]
(ya rabbi...)

T’es l’eau de Zamzam, mon bien, ma shifa
Si tu ne me réponds pas, j’te parle, j’ai la foi
T’es mon ciel, ma chute, ma quête, nti ddawa
T’as marqué ma vie, source d'la baraka
(wallah...)

Mon cœur est un désert, vaste et silencieux,
Où brûle le soleil, éclat douloureux.
Majnoun à sa Layla, je marche vers les cieux,
Portant ce doux fardeau, destin mélodieux.
(eh...)

Le vent emporte mes mots, porteurs de ma flamme,
À travers dunes et palmiers, jusqu’à ton âme.
Ton nom murmuré, parfum qui désarme,
Lalla moulat zzin, ma douleur, mon drame.
(ahh...)

Près du palmier brûlant, ta peau d’or éclata,
Fleur rare dans le sable où le chameau marcha.
Ton pas, danse de gazelle, un saut et tu t’envolas,
Lalla moulat zzin, ton nom dans l’univers résonna.

Les tam tam de l’oued chantent l’écho de ta voix,
Datte douce et mûre, mon cœur bas à travers toi
Il suit ta trace, direction l’oasis drapée de soie,
Zina des montagnes où l’âme se noya.
(layli...)

[(Rose née dans l’Atlas, ton odeur m’attira.
Ton regard est un feu qui ne s’éteint pas,
Ma rose du désert, mon amour, ma voie.)]
(yeah...)

Refrain :
Ta voix flotte au vent en un chant vibrant,
T’es la rose qui s’ouvre au matin naissant.
Mystère d’Orient, secret captivant,
Ton regard de velours me lie tendrement.
Tu brilles dans mes rêves inconsciemment,
T’es l’ombre qui vit en moi, éternellement.
(ah... ma Layla)

Ton silence éclaire mes prières, autour de la Kaaba.
Un verset inscrit ton absence dans la peau du dou3a.
Ton regard s’pose tel un ange sur les collines du Sahara,
Et mon cœur prosterné, je l’offre ma Layla.
(bismillah...)

Dans la voûte d’Orient, je rêve, solitaire,
D’un amour sans frontières, plus grand que la mer.
Ma plume est un voyage, un chant millénaire,
Un poème offert, avant mon dernier air.
(...inchallah)