Lyrics

[Refrain – chanté, voix puissante et grave]
J’ai vu l’amour dans un verre brisé,
Chaque éclat m’a laissé des vérités,
On m’a dit “relève-toi, c’est le jeu”,
Mais j’sais plus si j’me bats pour eux ou pour Dieu.
Le cœur est lourd quand l’passé t’harcèle,
J’fais des prières sans savoir à qui j’appelle...
Mais j’avance même quand l’âme chancelle,
Masqué dans l’ombre comme un rituel.


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[Couplet 1 – rap avec intensité mesurée]
J’connais des sourires qui m’ont poignardé,
Des mains tendues pour mieux m’étrangler,
Des promesses qu’le temps a flinguées,
Des silences qui font plus mal qu’un pavé.
On m’a dit : “Sois fort, t’es un homme”
Mais fort pour qui ? Quand personne te pardonne ?
J’joue le rôle qu’ils attendent de moi,
Mais dans l’miroir j’vois qu’un masque en bois.


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[Pont – chanté, calme avant la montée]
Et si demain j’me perds encore…
Si j’réponds pas quand l’ciel m’implore…
Est-ce qu’on m’en voudra, est-ce qu’on comprendra ?
Que même les lions ont peur parfois…


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[Refrain – chanté encore plus fort]
J’ai vu l’amour dans un verre brisé,
Chaque éclat m’a laissé des vérités,
On m’a dit “relève-toi, c’est le jeu”,
Mais j’sais plus si j’me bats pour eux ou pour Dieu.
Le cœur est lourd quand l’passé t’harcèle,
J’fais des prières sans savoir à qui j’appelle...
Mais j’avance même quand l’âme chancelle,
Masqué dans l’ombre comme un rituel.


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[Couplet 2 – rap plus introspectif]
J’crois qu’le succès m’a coûté trop d’frères,
À force d’viser l’ciel, j’ai raté la terre.
On m’aime pour l’image, pas pour l’homme,
Lumière crue, mais la vérité résonne.
J’écris des lignes comme des confessions,
Chaque mot saigne, c’est ma profession.
J’ai tout donné mais l’vide m’appelle,
Faut croire que les anges vivent avec l’enfer.


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[Refrain final – chanté avec chœurs en soutien]
J’ai vu l’amour dans un verre brisé,
Chaque éclat m’a laissé des vérités,
On m’a dit “relève-toi, c’est le jeu”,
Mais j’sais plus si j’me bats pour eux ou pour Dieu.
Le cœur est lourd quand l’passé t’harcèle,
J’fais des prières sans savoir à qui j’appelle...
Mais j’avance même quand l’âme chancelle,
Masqué dans l’ombre comme un rituel.