Lyrics

Je sens l’abysse qui m’engloutit.
Quoique je dise, mes paroles tombent dans l’oubli.
Mes sens sont engourdie.
Je vacile, tous mes sens ont affaibli
Longtemps sourd à mes émotions,
J’ai tout fait pour tenir bon.
Je croyais pouvoir obtenir de nous le meilleur,
Que de ces cicatrices jahirait le bonheur.
Malheur à ceux qui s’empoisonnent du baiser de la sirène.
Malheur à ceux qui pensent qu’elle sera une reine.
Malheur à ceux qui s’empoisonnent du baiser de la sirène.
Car de leur vie, elle s’enivre et de leur âme se fait une traîne.
Elle a su faire de moi mon pire ennemi.
De ses chants strident, elle m’a donné les outils
Ceux-là même qui me doivent mener à ma perte
Qu’elle a patiemment aguisés pour que je prenne perpète.
Patiente, elle saisit chacune de mes peurs.
C’est de moi qu’elle obtient tous ses leurres.
Qui me mèneront à l’échafaud, tête basse.
Car dans un sursaut, j’ai voulu lui faire face.
Malheur à ceux qui s’empoisonnent du baiser de la sirène.
Malheur à ceux qui pensent qu’elle sera une reine.
Malheur à ceux qui s’empoisonnent du baiser de la sirène.
Car de leur vie, elle s’enivre et de leur âme se fait une traîne.
Plus je me débats, plus je m’étrangle dans son filet.
Je croyais être fort, mais de ma bêtise elle s’est gaussé.
Crétin que je suis, toujours vouloir voir son meilleur coté.
Elle finira par pafaire l’arme ultime, qu’elle a enfanté.
Force à ceux que la sirène a embrassé,
Car elle t’a donné la plus pure des motivations.
Force à ceux que la sirène a cru charmer,
Car ton enfant est celui qui te ramènera à la raison.
Le combat est âpre et souvent je me suis senti seul.
Près à faire vivre à d’autres la douleur du deuil.
Près à lui concéder la jouissance d’une victoire.
Mais je me ressaisis pour qu’elle n’en tire aucune gloire.
Bien entouré, épaulé et surtout écouté.
Je serais pour elle le mauvais souvenir.
Celui qui de sa laideur aura pu démontré.
Parasite hypocrite, qui fait souffrir par pur plaisir.
Force à ceux que la sirène a embrassé,
Car elle t’a donné la plus pure des motivations.
Force à ceux que la sirène a cru charmer,
Car ton enfant est celui qui t’a ramené à la raison.