Larmes Dans La Voie Lactée

Lyrics

Couplet 1
Depuis que t’as pris ton envol, j’suis seul dans ma stratosphère,
Un astronaute sans étoile, perdu dans l’univers.
T’étais ma grande ourse, mon repère dans l’immensité,
Mais t’as filé comme une comète, me laissant désorienté.

Chaque nuit, j’parle aux astres, mais ils restent silencieux,
J’trace des constellations avec des larmes dans mes yeux.
Le vide sidéral m’oppresse, l’amour est devenu noir,
T’as déclenché un Big Bang qui m’a fracturé l’espoir.

Je dérive dans l’espace, prisonnier d’une orbite,
Un cœur en apesanteur, qui cherche encore son satellite.
T’étais mon soleil, j’gravitais autour de toi,
Mais sans ta lumière, j’ai sombré dans un trou noir.

Refrain
J’me perds dans le cosmos, là où l’amour se fane,
Un astronome qui cherche encore ta trace dans la Voie Lactée.
Mon cœur est une étoile morte, il brille mais il saigne,
Depuis que t’as quitté mon ciel, j’rêve de t’y ramener.

Couplet 2
J’ai cru qu’on atteindrait ensemble Alpha Centauri,
Mais t’as pris ta fusée et moi j’suis resté sur Terre, en orbit.
Les étoiles filantes, c’est beau, mais ça dure jamais,
T’étais un éclat dans ma vie, une lumière éphémère.

J’ai gravé ton sourire dans ma galaxie mentale,
Mais même Hubble verrait pas d’étoile aussi fatale.
Les météores pleuvent, mon cœur est criblé d’impacts,
J’essaie de reconstruire mais j’suis juste un débris intact.

Chaque battement d’cœur résonne comme une supernova,
Une explosion lente qui m’rappelle qu’t’es plus là.
T’as laissé un champ d’astéroïdes là où battait mon âme,
Et même l’infini ne pourrait combler ce vide infâme.

Refrain
J’me perds dans le cosmos, là où l’amour se fane,
Un astronome qui cherche encore ta trace dans la Voie Lactée.
Mon cœur est une étoile morte, il brille mais il saigne,
Depuis que t’as quitté mon ciel, j’rêve de t’y ramener.

Outro
Peut-être qu’un jour nos planètes s’aligneront à nouveau,
Mais pour l’instant, j’fais des vœux qui brûlent dans mon feu.
J’suis juste une poussière d’étoile, un grain dans l’infini,
Depuis que t’es partie, j’me noie dans mon propre vide intersidéral.