Lyrics

Peut-être que mon cœur n’a pas su te capter,
Mes yeux se sont écartés, évitant de te croiser,
Ce feu en moi persiste, prêt à exploser,
Quand tombe la nuit, impossible de l’arrêter.

Ô femme aux yeux mêlant mer et olivier,
Rose fragile, couronne à jamais gravée,
Suis-je fou, ou juste brûlé par le désir ?
Ou seul, perdu, à chercher ton sourire ?

Ô ma rose, ma lumière dans le noir,
Suis-je fou, ou brûlé par ce hasard ?
Si la folie m’habite, c’est toi que j’accuse,
C’est toi qui mets mon cœur en pleine ébullition, excuse.

Si ma vie est un exil sans fin,
Aimer, c’est perdre pied parfois,
Se battre pour garder la voie,
J’étais pas de ceux que l’amour atteint.

J’étais pas de ceux qu’un regard désarme,
Puis t’es passée, et j’ai lâché les armes.
Tes paupières ont changé mes lois,
Depuis, je contrôle plus mes choix.

Ton amour m’a frappé sans prévenir,
Depuis, je vis sans vraiment guérir.
Ton cœur contrôle le mien sans effort,
Je suis tombé, et j’en redemande encore.

Je t’aimerai tant que mon cœur fera du bruit,
Et si je pars, ton nom reste dans mes nuits.
T’es la joie, t’es la flamme qui brûle,
Ton amour me serre et doucement bouscule.

C’est pas un secret, l’amour fait des ravages,
Des âmes tombent, piégées dans son mirage.
Parfois les vivants rallument la flamme,
Et transforment la douleur en arme.

Ton amour circule comme le sang dans mes veines,
Il court, sans fatigue, sans peine.
Dites-moi franchement, les vrais savent :
Qui a vu un mort pleurer pour sa propre baffe ?

Si mon cœur était libre, sans attaches,
Il aurait quand même suivi ta trace.
Et si l’amour donnait sans retour,
Il comprendrait ce que l’âme endure chaque jour.

Tes yeux visent droit dans les cœurs,
Chaque regard déclenche des douleurs.
J’aime m’endormir sans raison précise,
Peut-être qu’en rêve, ton visage se déguise.

Sans amour, personne tomberait si bas,
Tout vrai cœur finit par plier les bras.
Prends ton chemin, emporte ce que t’as,
L’amour réel, c’est le premier qui trembla.

Si tu veux voir le monde en beauté,
Regarde le visage que ton âme a créé.
Ne combats pas mon cœur avec ton regard,
Deux faibles ensemble deviennent un rempart.

Quand je capte ton regard qui flashe,
Ton serment me prend, je perds la dalle.
Ma joue laisse couler ses larmes, tranquille,
Le désir mène le jeu, même quand tout vacille.

Je t’aime avec deux flammes, deux amours sincères,
L’une brûle le désir, l’autre éclaire la lumière.

J’ai vu la pleine lune marcher sur la terre,
Jamais lune n’a brillé avec autant de mystère.

Ils ont dit que la séparation, c’est demain,
J’ai répondu que c’est ma mort avant le matin.

Retiens-toi un instant, avant le déchirement,
Je ne suis pas de ceux qui restent dans le tourment.

Et ce qui me fait vibrer, ô ma bien-aimée,
C’est de te désirer alors que t’es à mes côtés.

Parfois, l’amour joue ses cartes sans prévenir,
Il fait tourner nos vies, nous pousse à courir.

(Caque instant près de toi fait battre mon cœur,)