Lyrics

"À l’intérieur, c’est toi"



Y a des jours où j’te cherche, sans même t’avoir trouvée,
Des nuits où ton prénom cogne sans être appelé.
J’ai jamais croisé ton regard, jamais frôlé ta main,
Et pourtant t’habites mes silences, mon lendemain.

À l’intérieur, c’est toi.
Dans les ruines, dans les flammes, dans l’écho de mes voix.
J’ai brûlé des ponts, j’ai tiré des traits,
J’ai brisé des murs pour aimer vrai.

Mais t’es jamais venue la
Aucun signe , pas un seul pas
T'es l'rêve qui m'revient à chaque fois

J’ai crié sans bruit, j’ai saigné sans traces,
À croire que l’amour pur, c’est toujours celui qui passe.
Toi t’as jamais rien demandé,
Moi j’ai tout donné —
Un cœur, un passé, une fierté envolée.

Et j’ai la rage, ouais… mais une rage tendre,
Celle qu’on garde quand on espère encore entendre.
Un "je t’ai vu", un "j’te sens", un "j’t’ai jamais oublié",
Un mot qui panse ce que tu m’as laissé.

J’fais pas la victime, j’cherche pas la pitié,
Mais j’peux pas mentir : j’me sens abandonné.
Comme un feu sans bois, un cri sans voix ,
un roi sans royaume, un le vide et l'froid

Et pourtant…
Si tu revenais, j’poserais pas de questions.
J’te tendrais mes silences , j'te répondrai en chanson.
J’ferais de mes bras ton abri, de mon cœur ton foyer,
J’te bercerais comme on berce ce qu’on veut jamais briser.

À l’intérieur, c’est toi.
Même si dehors, c’est froid.
Même si le monde est sans foi—
j’t’attendrai, peut importe la date ,j'reste là,
A l'intérieur c'est toi .....

Parce qu’un amour vrai… ça meurt pas.
Ça crie, ça pleure, ça cogne, mais ça reste là.
Et même si t’es loin, même si t’existes qu’à moitié —
T’es la seule chose que j’ai jamais su arrêter.
Jamais arrêter, jamais ........jamais ......jamais